Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

La Dame blanche

Aller en bas

La Dame blanche Empty La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:51

La Dame blanche

La Dame blanche Imj_19


La Dame blanche est un fantôme qu'on rencontre souvent dans les légendes. En général les Dames blanches sont très souvent "gentilles", elles s'occupent des enfants et aident les vivants. Ce n'est que de manière exceptionnelle qu'elles commettent un acte terrible. En Slovaquie, nous pouvons même les rencontrer dans le Vieux Bratislava, et au Château de Bojnice. Elles sont dans chaque pays, dans tous les lieux et beaucoup d’histoires la rapportent près des routes et des virages dangereux. Elles sont partout, tout simplement.

La Dame blanche Imj_08


UN PEU D'HISTOIRE
Cela se passait aux environ de 1750, par une nuit d'automne, un braconnier était embusqué dans le parc du château et y guettait sa proie, quand il crut entendre un bruit lointain. Craignant d'être découvert, il cacha précipitamment son fusil et grimpa sur un arbre. A peine y était-il établi qu'il aperçut, à l'extrémité de la grande allée du parc, une voiture attelée de chevaux noirs et suivie de plusieurs domestiques qui portaient des torches allumées. L'équipage s'avançait lentement et presque sans bruit, aucune voix n'interrompait le silence de la nuit, qui n'était troublé que par le pas mesuré des chevaux et par le froissement des roues sur les branchages et les feuilles desséchées. Cet étrange cortège s'arrêta à quelques pas du braconnier, qui vit bientôt, à la lueur des torches, plusieurs hommes munis de bêches et de pioches, s'avancer de son côté et se mettre à creuser une fosse précisément au pied de l'arbre sur lequel il se trouvait. Au même instant deux gentilshommes, dont le rang élevé s'annonçait par l'élégance et la recherche de leur costume, sortirent de la voiture et firent descendre avec violence une jeune femme richement parée. Elle portait une robe de soie blanche, sa tête était couronnée de fleurs, un bouquet ornait son sein, tout indiquait une jeune fiancée qu'on va conduire à l'autel, mais sa chevelure était en désordre et ses yeux pleins de larmes, ses joues pâles, ses gestes suppliants annonçaient assez qu'elle était en proie à l'épouvante. Traînée plutôt que soutenue par ses conducteurs, quelquefois elle se débarrassait de leurs bras, se précipitait à leurs pieds, embrassait leurs genoux, les appelait ses frères et ses amis, et les suppliait en sanglotant de ne pas lui arracher la vie.
Ce fut en vain, ses persécuteurs demeurèrent froids et inflexibles devant ses supplications désespérées, et loin de paraître ému, l'un d’eux la repoussa brutalement.
-Mes frères, mes amis, oh! Je vous en supplie, ne me faites pas de mal.
-Vos frères! Non Madame, nous ne le sommes plus, vous avez cessé d'appartenir à la famille que vous déshonorez.
-Au nom du ciel! Ne me tuez pas. Faut-il donc mourir si jeune! Au moment d'atteindre au bonheur! Ah ! Que la mort est affreuse !
-Il faut pourtant vous y résigner, Madame, les pleurs sont inutiles, votre heure est venue, vous allez mourir.
La fosse était creusée, les cavaliers firent signe à leurs gens, qui s'emparèrent de la jeune dame. L'infortunée se débattit longtemps dans les bras de ses bourreaux, mais malgré ses efforts désespérés, malgré ses supplications et ses larmes, elle fut jetée dans la fosse qu'on recouvrit précipitamment de terre pour étouffer ses derniers gémissements, puis les deux seigneurs remontèrent dans la voiture, l'équipage s'éloigna au grand trot des chevaux, et quelque moment après, le parc de Trécesson avait repris son obscurité, son calme et son silence. Pendant cette scène affreuse, le braconnier, le cœur serré par l'effroi, avait à peine pu respirer. Lorsque la voiture eut disparu, lorsqu'il eut cessé d'entendre le pas rapide et cadencé des chevaux qui l'entraînaient, il se décida à descendre de son arbre, mais, plein de trouble et d'épouvante, il ne songea pas à écarter la terre qui étouffait la malheureuse femme qu'on venait d'assassiner sous ses yeux. Il courut en toute hâte chez lui, où il raconta, tout éperdu, à sa femme, le crime dont il avait été le témoin. Celle-ci fit de vifs reproches à son mari et l'accusa de lâcheté.

La Dame blanche Imj_01

L'entraînant ensuite, elle voulut aller dans le parc pour ouvrir la fosse, mais une réflexion terrible lui vint: si elle et son mari allaient être surpris auprès d'un cadavre à peine froid, ne leur imputerait-on pas le crime affreux qui venait d'être commis? Cette crainte l'arrêta, elle jugea qu'il n'y avait rien de mieux à faire que de se rendre auprès de M. de Trécesson et de lui raconter ce qui s'était passé. Le braconnier et sa femme, introduits chez leur seigneur, purent à peine, tant ils éprouvaient de crainte, lui faire le récit du crime qui venait d'être commis sur ses terres. Aussitôt que M. de Trécesson eut compris de quoi il s'agissait, il se hâta de faire appeler tous les gens de sa maison et de leur donner l'ordre le plus pressant de se rendre au lieu indiqué, où lui-même les suivit bientôt. Cependant ces démarches, ces préparatifs avaient emporté le temps.

La Dame blanche Imj_28

Le jour était prêt à paraître lorsqu'on put commencer à enlever la terre qui recouvrait la fosse. Tous les regards, dirigés sur le même point, annonçaient l'anxiété des acteurs de cette scène, l'espérance et la crainte, l'attendrissement et l'horreur se succédaient. Enfin, lorsque le visage de la jeune dame parut à découvert, celle-ci ouvrit doucement les yeux, poussa un long soupir et ses yeux se refermèrent pour toujours.
M. de Trécesson fut profondément affligé de cet événement. Il lui fit rendre les honneurs funèbres avec une pompe digne du rang qu'elle paraissait avoir occupé dans le monde. Par la suite, il fit de nombreuses démarches pour découvrir les assassins, mais toutes ces recherches furent inutiles, on ne put savoir ni le nom de cette jeune dame qui avait disparu d'une si étrange manière, ni la cause du sort cruel qu'on lui avait fait subir, et cet évènement extraordinaire et toujours resté enveloppé, d'impénétrables ténèbres. Cependant, le souvenir s'en est transmis jusqu'à nous par des signes certains, M. de Trécesson avait solennellement déposé dans la chapelle du château la robe nuptiale, le bouquet et la couronne de fleurs de la jeune et malheureuse fiancée qui restèrent sur l'autel, exposés à tous les regards, jusqu'à l'époque de la Révolution. Quand il y presque dix ans on voulu la déterrer, le magnifique cercueil orné du seau et d’enluminures n’abriter plus le corps de la Dame anonyme, mais le voile transparent qui l’habillait était toujours là.
Quant à savoir pourquoi elle errait sur les routes en demandant son chemin aux voyageurs, on dit qu’elle chercherai à retrouver celui qui lui retira à jamais la vie pour se venger. Et lorsqu’elle arrive sur le chemin où elle perdue la vie, le cri de douleur qu’elle ne put pousser jadis sort enfin et elle disparaît laissant les voyageurs terrifier, à un sort qui ne dépend que d’eux. Aujourd’hui elle attend d’avoir enfin le courage de continuer le chemin qui dit-on la ramènera près de celui qui aurait dût profitai de son amour.
Affaire plus récente, la jeune Dame Blanche Descendit de carrosse en habit d'épousée S'étendit dans un trou qui fut lors rebouché Par les deux mécréants qui l'avaient amenée Châtelain alerté appela ses manants Recreusèrent le trou, tant si rapidement Que la belle vivait, bien qu'inconsciemment Nul ne put ranimer la belle Dame Blanche Qui au matin mourut de sa nuit d'enterrement Dans la belle saison, mourut la Dame Blanche

La Dame blanche Imj_03

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:51

La Dame blanche (suite)


HISTOIRE 1

Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans décident de faire une virée à la mer. Vers 0h30, après s'être promenés sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, ils décident de rentrer. Sur le bord de la route, juste avant le pont des Quatre-Canaux, ils aperçoivent une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années, portant un imperméable ainsi qu'un foulard blanc. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre
après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes les personnes qui les interrogent, conclue à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire.


HISTOIRE 2

C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.


HISTOIRE 3

Ce samedi soir de décembre 1979 il est près de minuit et Michel P., de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche type année 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.
A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stop, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à s'en remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, il n'a passé que quelques minutes en compagnie de cet être venu d'ailleurs.


HISTOIRE 4

L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non pas sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...


HISTOIRE 5

Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.


HISTOIRE 6

Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.


HISTOIRE 7

Bonjours je m'appelle yannick j'habite a Mirecourt dans les Vosges. Je partais en tourner de camion avec mon copain on commencer a Délirer sur la dame blanche c'étais a 3 km avant Coussey (88). Arrivant dans le village nous sommes passer sur une route remplie d 'arbres. je regarder les alentours et soudain au loin j'appercu un voile blanc . je me suis dit c'est mon imagination. Hors le voile venait vers moi. 10 seconde aprés je la voyais a coté de moi . Elle me regarder avec un air de tristesse . Elle commencais a me tendre la main pour que je la suivent.Je ne pouvais pas la suivre car on rouler. 5 Minutes aprés la dame blanche repartais. Une fois repartis le camion c'est mis a ralentir d'un coup . Une fois de retour on a été voir un copain et je lui est expliquer le cas . Lui aussi la vu sur la même route. Et il m'expliquer comment elle est morte. Aprés plusieurs minute de conversation j'ai compris pourquoi elle me tendait la main. Le jour de son accident elle mourut avec son mari et ses enfants. Elle me demander alors que je retrouve sa petite famille. Depuis je suis passer plusieurs fois sur la même route et je ne l'ai plus revus.


En conclusion :

Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits. Il s'agit de femmes ou de jeunes filles en général vêtues de blanc (parfois habillées de cuir noir ou brun, casque au bras : victimes de la moto). La plupart des auto-stoppeuses sont mortes à la sortie de boîtes de nuit. Dans tous les cas, les revenantes ont été foudroyées par la mort, sans comprendre, et de là vient peut-être la persistance de leur présence sur les lieux, comme si elles flottaient, indécises, entre l'existence et le néant. Jouent-elles un rôle préventif, tels des anges gardiens protégeant les vivants d'accidents de la route ? A quel monde appartiennent-elles ? Toutes ces questions restent pour l'heure sans réponse.

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:52

danjack a écrit:Très impressionnant ces histoires d'ectoplasmes.
J'aimerais pas être confronté à ce type de manifestation...

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:52

Carole a écrit:Merci Christian ça fait vraiment peur, cela doit te marquer pour longtemps une rencontre comme cela.

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:53

nanou a écrit:comme tu le dit Carole, ça fait froid dans le dos :surpris: :surprise:

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:53

Elo Fan a écrit:je vais plus dormir cette nuit moi mdr !

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:53

Shayera a écrit:J'adore les histoires d'horreurs! Wow! Ça fait vraiment peur!

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:54

LES DAMES BLANCHES


Plusieurs thèses sont apparues concernant ses apparitions. Les psychologues parlent de visions épileptiques, voire d’hallucinations collectives si les témoins sont nombreux. Les sociologues parlent de légendes urbaines...


Les dames blanches, ou grises se matérialisent toujours au même endroit. Elles tirent leur nom de leur vêtement ou de la lumière qui émane d'elles. Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits.

La Dame blanche Dameblanche

Les Dames blanches seraient des substitut à la vieille mythologie européenne des dames blanches, qui, elles aussi, apparaissent régulièrement, parfois sur des siècles, après être mortes de façon inattendu et soudaine. Maisdans la majorité des cas il ne s’agit pas de légendes. Il y a des témoins, des descriptions concordantes et souvent des dépositions en gendarmerie. Devant le flux croisant des témoignages, les gendarmeries ont reçu des directives spécifiques et traitent ces cas de manifestations comme les phénomènes de maisons hantés ou d’apparitions d’OVNI.



Leur identité et la raison pour laquelle elles se montrent sont souvent connues des personnes qui les voient fréquemment. Les traits légendaires ou susceptibles d'être "tirés" vers le légendaire se perçoivent clairement.

L'apparition se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. Les lieux d'apparition sont situés près de croisements de routes et de ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'Ici-bas et l'Au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen". Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture et parfois des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. C’est toujours une mort violente qui semble conditionner le retour momentané des fantômes, comme si le processus de départ ne s’était pas déclenché. Certains parlent d’incorporations d’esprits sur le lieu du drame. Des parapsychologues avance la théorie selon laquelle ces êtres viendraient prévenir des accidents même si, parfois, on a au contraire constaté qu’ils les provoquaient !


Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits. On constate aussi qu'il s'agit de femmes ou de jeunes filles, presque toujours vêtues de blanc. Pourquoi ce costume ? On remarque que la plupart des auto-stoppeuses sont mortes au sortir de boites de nuit. Portent-elles encore les vêtements adaptés aux effets de la lumière noire des discothèques ? Il faut cependant noter que, parfois, les stoppeuses sont en habit de cuir noir ou brun, casque au bras. Ce sont des victimes de la moto.

Dans tout les cas, les revenantes ont été foudroyées par la mort, sans comprendre, et de là vient peut-être la persistance de leur présence sur les lieux, comme si elles flottaient, indécises, entre l'existence et le néant. Jouent-elles un rôle préventif, tels des anges gardiens protégeant les vivants d'accidents de la route ? A quel monde appartiennent-elles? Toutes ces questions restent pour l'heure sans réponse.

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:54

Shayera a écrit:J'aimerai savoir si quelqu’un connaît un très long conte sur une Dame Blanche. J'en cherche un désespérément!

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:54

Je regarderai ! clin d'oeil

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:55

Shayera a écrit:
Cricri-FB a écrit:Je regarderai ! clin d'oeil
Merci D'avance!

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:55

LE CHATEAU HANTÉ

(histoire tirée d'un roman)

La Dame blanche Ghost

Il n'y a pas longtemps de cela, tout le village de Parnasse se moquait d'une sœur et de son frère. Ils décidèrent tous les deux ensemble de montrer leur courage en allant visiter un vieux château hanté, dont toute la population avait peur.
Le lendemain Julie et Max partirent;ils escaladèrent le mur du château et réussirent à pénétrer à l'intérieur. Ils ouvrirent la porte, montèrent les escaliers et virent Sream qui les poursuivait. Ils coururent et montèrent tous les escaliers; du moins ils croyaient qu'ils étaient ensemble!
Dix minutes après, Julie entra dans une pièce noire et rencontra: la dame blanche...
Julie se mit à crier: " Max! Max! Max!!!" . Son frère Max l'entendit au loin faiblement alors il monta les escaliers quatre à quatre mais il ne savait pas que Scream était sur ses pas .....
Pendant ce temps, Julie réussit à enfermer la Dame Blanche dans une pièce et bloqua la porte avec une chaise. Mais grâce à ses pouvoirs surnaturels, la Dame Blanche traversa le mur pour s'échapper . Julie se retrouva à nouveau devant son ennemie. Effrayée, elle fit un pas en arrière , trébucha sur le tapis et tomba évanouie sur le sol....
La dame blanche s'approcha, la prit dans ses bras et la porta dans une chambre froide où elle l'examina... Pendant ce temps Max était poursuivi par Scream; il arriva dans une pièce noire, alluma la lumière et bloqua la porte. Il regarda de tous côtés pour trouver du matériel pour construire un piège. Il trouva une corde solide et une cage en fer. Il installa le piège; Scream réussit à casser la porte et marcha sur la corde que Max tenait. Celui-ci lâcha la corde d'un seul coup, ce qui déclencha le mécanisme du piège et Scream se retrouva enfermé dans la cage.
Pendant ce temps, la dame blanche partit dans une pièce pour faire un antidote pour tuer Max. Elle resta seule dans la chambre froide. Peu à peu, Julie sentit son corps qui se refroidissait, elle frissonna plusieurs fois et petit à petit elle s'endormit. Pendant ce temps là, un petit garçon tout timide , certainement le plus timide du village de Parnasse, Julien, les avait suivis sans qu'ils le sachent .
Il avait vu la dame blanche enfermer Julie dans la chambre froide, et alla tout raconter à Max...
Le château était tellement grand , que Julien se perdit . Le roi qui hantait le château ressemblait à un squelette . D'un seul coup, il apparut en sortant d'un passage secret rempli de richesses et entendit la voix de Julien qui appelait Max.
- Max! Max! Max! Où es-tu ? réponds-moi !
Le roi dirigea ses pas vers les bruits qu'il entendait en tâtonnant des mains sur les murs car il était resté tellement longtemps dans le noir qu'il était devenu aveugle. Il chercha dans tout le château mais il ne trouva rien jusqu'au moment où il tomba pile derrière Julien. Il l'attrapa, et Julien resta pétrifié de peur...
Une main s'était posée sur son épaule. Il se retourna lentement et se retrouva nez à nez avec un personnage maigre et inquiétant qui lui dit d'une voix cassée: "N'ayez pas peur je ne vous veux aucun mal; Scream m'a emprisonné il y a deux cent ans et a enlevé ma femme; depuis je ne l' ai plus revue.
- On fait un marché, dit Julien ; vous m'aidez à retrouver mes amis et à les délivrer et moi je vous aiderai à retrouver votre femme. OUI ou NON?
- Oui, marché conclu, marché fait!
Pendant qu' ils cherchèrent la reine , le roi raconta toute son histoire :
- Il y a très longtemps , Parnasse était en guerre contre le royaume voisin , et un jour la dame blanche et Scream sont rentrés dans le château. Ces derniers avaient congelé toutes les personnes dans la chambre froide qui était dans le château, les avaient tous rapetissées comme des fèves et les avaient enfermées dans des bocaux, le même sort est arrivé à ma femme..."
Pendant que Julien cherchait la reine, un méchant et cruel vampire entra dans la cuisine du château . Il entendit des personnes qui criaient : " au secours au secours " . Il réalisa que c'était des personnes réduites enfermées dans des bocaux. A côté, il y avait des gâteaux. Le vampire eut l'idée de les étouffer dedans. Il ouvrit les bocaux et les mit tous à l'intérieur des gâteaux . Le vampire partit dans la pièce d'à côté pour faire encore un mauvais coup. A ce moment là , Julien entra dans la cuisine: il avait très faim! Par miracle, il vit les gâteaux. Il entendit des voix à l' intérieur...
Le roi réalisa que c'était des gâteaux empoisonnés. Ce dernier arracha le gâteau des mains de Julien et le lança contre le mur et il vit des glaçons par terre avec dedans toutes les personnes qui étaient dans le château et qui avaient été congelées par Scream et la Dame Blanche. Alors le roi et Julien prirent tous les bocaux et tous les biscuits . Une fois fait, ils allèrent dans une pièce qui ressemblait à un laboratoire et ils restèrent pour essayer de chercher des antidotes pour délivrer les gens pris dans la glace...
Julien dit : " Ceci ressemble plutôt à une boucherie qu'à un laboratoire ! Il y a des cerveaux, des cuisses de toutes sortes d'animaux !" Ils voulurent entrer dans une salle quand d'un seul coup , boum !
" Mais qui est-ce ?
- Je m'appelle Harry COCH . Je suis un sorcier , une dame blanche m'a volé ma baguette magique donc je ne peux plus faire de magie! Qu'est-ce que vous faites là ?
- Nous cherchons un antidote pour que la reine et ses amis redeviennent normaux .
Pendant ce temps la dame blanche préparait la potion pour Max . Le groupe cherchait toujours la potion et la baguette . Julie était en train de geler dans la chambre froide.
Julien et Harry rentrèrent dans une pièce très très noire et tout coup ils eurent très froid.
Harry dit "c'est la chambre froide". Ils entendirent crier "au secours ,au secours".
C'etait Julie qui était en train de geler . La dame blanche leur couçut après et soudain la baguette tomba de sa poche. Harry Coch ramassa sa baguette et il tua le vampire et Scream avec sa magie . Max arriva , ils repartirent chercher la potion . Ils entrèrent dans une pièce noire avec des toiles d'araignées et virent la potion sur un coussin . Ils essayèrent de la prendre mais la dame blanche arriva devant la potion . Julien essaya de lui lancer un chandelier qui était à coté de lui. la dame blanche commença à se désintégrer et tout à coup elle tomba par terre et mourut.
De la bouche de la dame blanche s'échappèrent une dizaine de fantômes . Julien dit:
"- Ne vous inquiétez pas, ce ne sont que des fantôme inoffensifs ."
Julien s'avança et passa à travers un fantôme et ressortit raide mort . Du corps de Julien se releva un autre fantôme qui dit:
"- Pourquoi me regardez-vous ainsi ? Y a-t-il un problème ? Que se passe-t-il ?
Julien regarda sa main et poussa un cri de frayeur car il réalisa qu'il était devenu un fantôme .
-Je suis toujours votre ami et je vous aiderai à finir votre mission !
Harry COCH dit :
- Julien, écarte-toi, je vais tuer ces méchants fantômes grâce à ma magie.

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:56

UNE DAME BLANCHE

de France-Marie AUNAY


Je suis un scientifique, un cartésien, du genre ni dieu, ni diable...
Pourtant...
Début 2004, j'ai pris ma retraite après avoir bossé comme un dingue, du jour au lendemain des loisirs... Rien que des loisirs.
Des semaines de sept dimanches, alors que je bossais souvent le samedi !
Des jours entiers sans rendez-vous, sans patientes qui râlent quand leur bridge qu'elles exigeaient " blanc de blanc ", contre mon avis, faisait paraître leurs vieilles dents jaunes-grises-sales !
Les premiers temps ont été bien difficiles, puis, je me suis remis au jogging... Et un jour j'ai croisé Bernard ! Bernard était en médecine avec moi, mais on s'était perdu de vue, il avait fait une spécialisation cardio alors que j'optais pour la chirurgie dentaire.
Au temps de la fac, je me souviens lui avoir fait la poussette quand sa vieille 2CV peinait à démarrer. Déjà à cette époque, Bernard était fan de bagnoles ! Je chevauchais un Solex et lui rêvait Versailles, DS, parfois même Jaguar ou Porsche.
Quatre ans qu'il était en retraite, lui. Assouvissant enfin sa passion : Bernard était devenu l'homme à la Bugatti !
Il régnait sur un cheptel d'une demi-douzaine d'automobiles anciennes, plus extraordinaires les unes que les autres, qu'il restaurait et bichonnait, les pattes plongées dans le cambouis, du matin au soir. Je l'ai suivi de rallyes en concours, de ventes aux enchères en foires aux pièces détachées, puis petit à petit j'ai chopé le virus et j'ai commencé à rechercher pour mon compte une Belle Ancienne. Enfant, j'avais fantasmé sur la " Panhard Panoramic " que mon grand-père conduisait avant guerre et dont une photo ornait le bureau paternel, mais c'était un rêve inaccessible...

Un matin, Bernard m'a téléphoné, on venait de lui filer l'adresse d'une casse-automobiles tenue par un Gitan, au fin fond de l'Orne, et qui recelait des trésors : des ressorts de suspension 1939 pour l'une de ses " danseuses " !

Sitôt là-bas, Bernard a plongé avec délectation dans les divers tas de ferraille et de boulons, pendant que je me baladais dans l'immense terrain du Gitan. Une tripotée de gamins se chamaillait autour d'un ballon, faisant rager la plus petite, étonnamment blonde. Un gars de la casse les a calmés un peu rudement, la blondine a pleurniché " à bras, à bras !" Je l'ai prise dans mes bras, alors le gars m'a dit : " Si vous n'avez rien de mieux à faire, promenez-la " ! Je suis grand-père, je sais consoler, je l'ai mise sur mes épaules et j'ai fait " à cheval " entre les carcasses de voitures, tiraillé et pourchassé par la bande de schtroumfs. Elle tirait mon oreille pour me faire tourner, en cinq minutes, j'avais les oreilles en chou-fleur, je l'ai reposée à terre, ils se sont dispersés instantanément : une volée de moineaux et la petite a filé comme une flèche. J'ai bien essayé de la rattraper, puis me disant qu'elle saurait retourner à la caravane sûrement mieux que moi. J'ai continué mon exploration. Elle m'avait amené à la lisière d'un petit bois tout au fond du terrain.
Soudain, le choc, le coup de foudre, presque dissimulée par une haie de saules rabougris...
Elle était là !
Superbe, malgré la poussière et la crasse. Ronde sans lourdeur. Élégante dans sa simplicité. Avec juste ce qu'il fallait de chromes, car je déteste certaines vieilles bagnoles rutilantes comme des sapins de Noël !
J'ai cherché le proprio, craignant que cette splendeur soit au-dessus de mes moyens ou pire qu'il refuse de la vendre. J'ai aperçu Bernard entre deux joints de culasse et lui ai dit mon intention de marchander le " Roadster Hotchkiss 413 Cabourg de 1935 " garé quelque part là-bas. Il a simplement haussé les épaules observant : " Tu sais ce que ça coûte ? " Le Gitan m'a envoyé discuter directement avec son vieux père, une espèce de gnome tapi dans une baraque de chantier... Après les banalités d'usage, j'ai mentionné la voiture à l'aile droite cabossée au phare manquant. Il a affiché un air matois et j'ai compris qu'il flairait le gogo... J'étais bien décidé à ne pas dépasser les cinquante mille balles. Et pourtant je la voulais !
J'ai pris une grande inspiration et j'ai annoncé 750 € - (5 000 francs pour causer ancien) - J'ai vu luire l'acier meurtrier dans l'œil vert de mon bonhomme et me suis demandé s'il n'allait pas m'occire sur place. Il a dodeliné de la tête et m'a raconté, qu'en dépit de ses presque soixante-dix ans, la voiture n'avait jamais été revendue... Que les papiers du premier propriétaire étaient encore dans la boîte à gants, qu'après l'incident du phare, il l'avait gardée dans une remise d'où, elle était sortie l'été dernier quand le baron - presque centenaire - avait transmis son patrimoine à son petit-neveu pour rentrer dans une maison de retraite de Caen. La Hotchkiss avait été acquise à ce moment-là. Le bonhomme, au regard fascinant chuchotait cette longue histoire comme pour lui-même, je ne savais pas trop comment attaquer, alors j'ai murmuré 750 € ?
Le patriarche a grommelé un truc incompréhensible me fusillant du regard.
Pensant que les choses sérieuses commençaient enfin j'ai répété plus fermement 750 !
Le vieux manouche a encore soupiré, toussé deux fois et a simplement murmuré " d'accord ! " Et là... Là - j'en suis resté comme deux ronds de flan !
On s'est serré la main et abasourdi j'ai sorti mon chéquier.
Quand Bernard est arrivé avec son amas de quincaille, il a fait un chèque supérieur au mien !

Deux jours après la remorque du Gitan livrait ma Belle dans mon garage, nettoyé et rangé pour la circonstance... Lorsque je l'ai vue chez moi une espèce d'émotion m'a saisi, j'ai ouvert doucement la portière et me glissant à la place du conducteur. J'ai fouillé la boîte à gants. La première chose que j'ai saisie dans la pénombre était une demi-façade du phare qui manquait à l'avant, la seconde une liasse de papiers froissés qui comportait un plan crayonné au dos d'un devis établi pour réparer pour l'aile avant droite : 4 francs 56 " taxes afférentes y-incluses ". Le bol ! À l'époque, il n'y avait pas de T.V.A. ensuite, une élégante serviette de cuir noire avec la facture authentique et toutes les papiers d'origine !

Ça a pris quelques semaines... Pour tout démonter, nettoyer, graisser, remonter, trouver la façade du phare, redresser la joue d'aile. Une étape chez un garagiste, pote de Bernard, pour la cristalliser et ma voiture a été plus que neuve... Elle avait 5.707 kilomètres au compteur - exceptionnel - pour une septuagénaire ! Si Chapron, qui l'avait carrossée en 1935, avait pu la voir, il aurait pensé que le temps avait suspendu son aile. Ou qu'elle avait vendu son âme au diable... Oui, certaines voitures ont une âme j'en suis sûr maintenant !
Avec Bernard et sa bande de gais lurons, tous possesseurs de raretés plus rares les unes que les autres, nous avons fêté mon avènement dans cette heureuse confrérie ! Bernard répétant à qui voulait l'entendre que j'étais le meilleur négociateur de tout l'Ouest, puisque j'avais payé une introuvable - Chapron n'en avait carrossé que 6 dans la série - cinq mille balles et il répétait cinq mille balles !
D'ailleurs, comme c'est moi qui offrais le champagne à toute la petite bande c'est à peu près aussi ce que cette soirée me coûtait !
Il était presque trois heures du matin quand nous nous sommes séparés.
Assis confortablement, j'ai flatté le cuir de ma Belle, auquel la restauration avait rendu le lustre du neuf. J'ai caressé le volant de bakélite noire en fermant béatement les yeux : la voiture de mes rêves !
J'ai dévalé le boulevard Hugo, priant le ciel qu'aucun pandore ne croise mon chemin car j'aurais sûrement défoncé le ballon ! Il s'est mis à pleuvoir et mon essuie-glace a fredonné en cadence. Négligeant le périphérique, car j'avais décidé de rejoindre la côte par les petites routes, je filais. Soudain, quand le faisceau de mes phares balayait la descente devant le château ducal, j'ai aperçu une fine silhouette encapuchonnée de blanc dans un abribus. J'ai vu son geste de la main, ai freiné doucement, puis, passant la marche arrière, j'ai reculé à sa hauteur. Elle ne risquait pas d'avoir un bus à cette heure-là, j'ai ouvert la portière et elle m'a souri et est montée...
Nous sommes restés silencieux un long moment. Grisé par le délicat parfum de cette gracieuse passagère, je risquais parfois un œil sur son profil exquis, ses boucles blondes retenaient de minuscules gouttelettes d'eau, comme un semis de perles rares. Je n'avais jamais vu une telle beauté. Je l'aurais conduite au bout du monde ! J'avais ralenti respectant scrupuleusement les 30 km/h imposés quand nous traversions les nombreux petits bourgs qui parsèment la plaine de Caen. Cela prolongeait d'autant notre périple.
Elle avait un joli accent, difficilement identifiable. Elle s'appelait Wicca, enfin c'était le surnom que lui donnaient ses amis. J'étais aux anges. La voiture de mes rêves. La femme de mes rêves. Par un hasard sublime, Bobonne était en thalasso avec ma frangine. J'avais quartier libre pour les deux semaines à venir. L'alcool aidant - peut-être - je nous avais complètement perdus, cela faisait la seconde fois que nous traversions Riva-Bella, comme je ne connaissais pas l'adresse qu'elle m'avait indiquée : un chemin qui mène à la mer, elle se fit mon guide. Il fallait reprendre la route de Courseulles, rouler encore quelque temps. Je ne sais plus trop où nous étions, troisième à droite et puis après à gauche. Au fond d'une impasse se dressait une imposante Anglo-normande, tout éclairée en dépit de l'heure tardive. Elle était arrivée. Je descendis lui ouvrir la portière. Elle souriait, enhardi, j'ai demandé s'il m'était possible de la revoir...
Elle a ri : " Bien-sûr, demain, au même endroit, à la même heure, s'il pleut "... J'en suis resté abasourdi. J'avais quitté le resto et les potes vers deux heures du mat', le temps de reprendre la voiture, j'avais dû la croiser vers deux heures trente - et s'il pleut - que fallait-il comprendre ?... S'il faisait beau ou s'il tombait de la neige, je ne pourrais pas la revoir ? Incrédule, j'ai dit " Bon... Vers deux heures et demie à l'arrêt de bus du château " ? Elle a simplement répété... " S'il pleut - à deux heures trente-sept " !
Elle a escaladé avec légèreté les quelques marches du perron, s'est retournée sur un petit signe de la main et un dernier sourire.
En dépit de mes soixante printemps, j'étais amoureux !
Je ne vous dis pas quelle journée j'ai passée le lendemain, quand l'homme raisonnable et dégrisé s'est réveillé... Wicca ! Je ne savais rien d'elle, serais-je seulement capable de retrouver son adresse dans le dédale des rues du bord de la mer ? N'était-ce pas une toute folle, échappée de je ne sais quel hôpital, et qui hantait les rues de Caen en longue robe blanche sous la pluie ? N'était-elle pas mineure ? Il est assez difficile de donner un âge aux femmes de nos jours, certaines gamines paraissant plus âgées que leur mère ! Il aurait fait beau me voir en tôle pour détournement de mineure, alors qu'honnêtement, c'est moi qu'elle avait détourné ! D'ailleurs, étrange de donner rendez-vous à 2heures 37 du mat', ce n'était pas une Belle-de-Nuit au moins ?
Vers quinze heures, coup de fil de Bernard, il voulait savoir si j'étais rentré sans encombre, lui aussi avait mal aux cheveux.
La journée s'est étirée, monotone sous un soleil pâlot ! Que faire ?
Je suis allé dîner tout seul à la Ferme Saint-Hubert, puis de retour à la maison, j'ai regardé le ciel clair avec haine... Elle avait dit : s'il pleut...
Rien sur canal, j'ai sorti une cassette et me suis mâté un Singe en Hiver, j'aime bien Bébel... Je me suis un peu assoupi, et soudain un grondement de Tonnerre m'a réveillé en sursaut. Je me suis précipité a la fenêtre, la nuit était grise, de grosses gouttes s'écrasaient mollement sur la terrasse ! Bon sang il était déjà deux heures cinq, je n'y arriverai jamais !
J'ai enfilé mon blouson, me suis précipité au garage. J'ai pris l'autoroute... Ma Belle feulait doucement quand je passais les vitesses, je la poussais à peine : elle avait des ailes !
Je suis arrivé devant l'abribus sous une flotte battante, il était deux heures trente-trois à ma montre... C'est bien ce que je craignais. Personne ! La petite garce !
La rue était déserte. Les vitrines éteintes. Subitement un éclair a illuminé le ciel et il y a eu une brève coupure électrique. L'éclairage public s'est rallumé. J'ai remis le contact et le moteur a doucement ronronné. On a tapé à mon carreau. Elle était sortie de nulle part. Bof, il devait être deux heures trente-sept ! Trop content, j'ai ouvert la porte et elle est montée... Ah ! Les femmes ! Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre... Aujourd'hui toujours de blanc vêtue, elle avait ses cheveux coiffés longs et raides sous une casquette canaille. Elle était trop belle ! Ses yeux vert-clair avaient ce qu'on appelle ici l'anneau de Satan ! Ses fossettes, son charmant sourire. J'allais mourir d'amour ! Balade. Je me suis garé près du casino. La pluie avait cessé et nous avons marché au long de la mer, sur les diamants de la plage...La main dans la main, comme des adolescents. Puis comme il faut bien rentrer quand même, elle m'a de nouveau guidé dans le labyrinthe des ruelles. Troisième à droite et un peu plus loin, à gauche. L'impasse, la haute maison, sombre ce soir. J'allais sortir pour lui ouvrir la portière, quand elle s'est penchée vers moi, elle a posé ses lèvres sur les miennes. Ah mes aïeux, ce long baiser !
J'étais fou ! Je n'ai pas réussi à la retenir, elle a fui légère, j'ai crié : " Wicca Wicca ! " Mais elle avait déjà refermé la porte du perron, sans convenir d'une autre rencontre...
Je suis resté un long moment, mais je n'ai pas osé aller sonner au lourd portail.
J'ai tiré le démarreur et il s'est passé un truc complètement con : J'ai passé la première à la place de la marche arrière. Et j'ai violemment heurté un muret bas...
Je suis descendu, j'avais niqué mon aile avant droite, et un bout de la façade du phare luisait à mes pieds. Furieux, j'ai ramassé le morceau de verre et l'ai jeté dans la boîte à gants. Je suis rentré et me suis couché frustré.
Le lendemain je suis allé dans mon garage et j'ai constaté les dégâts... Tout était à refaire... Rageur, j'ai jeté une housse sur la voiture. J'ai pris ma BM et me suis mis en tête de passer chez Wicca pour lui parler. J'ai refait le chemin, pris la direction de Courseulles, à un certain endroit que je reconnaissais à peu près, tourné, puis troisième à droite et à gauche... La nuit, tout est tellement différent, à chaque fois, je retrouvais une étroite impasse et j'arrivais devant un petit immeuble miteux bâti dans les années 60, colonisé par des parigots jouant au marin le week-end ! Dans les jours qui ont suivi, j'ai passé mon temps à sillonner dans tous les sens les petites routes bordant la mer. J'ai fait aussi des recherches en passant par la plage depuis Langrune jusqu'à Riva, rien, je n'ai jamais retrouvé la grande Anglo-normande... Je n'ai jamais retrouvé Wicca !

Morose, j'avais laissé tomber la petite bande des copains de Bernard.
Quelques mois plus tard, un matin j'ai reçu un coup de fil bizarre... Le petit-neveu du Baron Bricard préparait les festivités du centenaire du vieux Monsieur, à cette occasion, il avait un " signalé service à me demander ". Nous nous sommes rencontrés... Le vieil oncle réclamait la Hotchkiss. Je suis un sentimental... J'avais dépassé l'aventure Wicca... Avec peine d'ailleurs. Le jeune Bricard était agréablement surpris de retrouver la voiture... Il m'a raconté comment il l'avait vendue à un vieil original anglais qui, royal lui avait payé 10 bâtons rubis sur l'ongle ! Je ne comprenais plus rien... J'ai questionné plus avant. Il a fini par me décrire son Milord : petit, rondouillard, des yeux verts étranges, (le portrait craché de mon gnome gitan, accent british en plus, mais pourquoi m'avait-il revendu la voiture seulement pour 5.000 balles ?)
Le jour de la fête, j'étais là avec ma voiture borgne, je ne l'avais toujours pas réparée... Le vieux Baron Bricard a trouvé l'énergie de quitter son fauteuil roulant et d'esquisser quelques pas dans ma direction. Il a posé ses vieilles mains noueuses sur l'aile abîmée et m'a souri : " Vous me faites faire un tour ? " Comment refuser ? Son neveu m'aida à l'installer, bordant un plaid écossais sur ses genoux, comme il n'y a pas de places arrières, nous partîmes doucement tous les deux vers Courseulles. À un moment, il s'écria : " On tourne "... trois rues plus loin, tout excité, il tapota le pare-brise avec son doigt en disant : " à droite, à droite " ! Après il m'a fait tourner à gauche et nous sommes arrivés dans une impasse qui mène à la mer... Devant le petit immeuble miteux. Bizarrement il avait l'air aussi déçu que moi. Quelque chose brillait sur le sol, curieux je suis descendu, près d'un petit mur j'ai ramassé deux morceaux de phare quasiment identiques... Le vieux Baron m'a dit : " Avant, ici, il y avait un terrain vague, et encore avant une grande maison, mais elle a brûlé un soir d'orage en 1900 " !


À l'issue d'un dîner bien arrosé, parfois quelqu'un raconte la légende des " Dames Blanches " qui hantent la plaine de Caen et qui, les soirs de pluie, volent l'âme des voyageurs solitaires. Tout le monde s'esclaffe... Moi, je suis un scientifique... Un cartésien, du genre ni dieu, ni diable, mais moi, ces histoires-là ne me font pas rire !

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:56

Shayera a écrit:Merci Infiniment! Tu me sauves la vie!

Merci!

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:56

Chup'S a écrit:merci pour toutes ces histoires et explications !

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Cricri-FB Jeu 7 Juin 2018 - 9:57

Océane a écrit:Merci pour toutes ces infos et précisions !

_________________
La Dame blanche Cricrisignature-01
Regarder et écouter Elodie, pour moi c'est du bonheur !
Cricri-FB
Cricri-FB
Administrateur
Administrateur

Masculin Cancer Messages : 8398
Date d'inscription : 16/05/2018
Age : 65
Localisation : 1200 Bruxelles (B)
Emploi/loisirs : retraité depuis le 1er août 2023

Revenir en haut Aller en bas

La Dame blanche Empty Re: La Dame blanche

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum