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Le plateau d'Albion

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Le plateau d'Albion Empty Le plateau d'Albion

Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:44

LE PLATEAU D'ALBION

Un site très sensible


Le plateau d'Albion en Provence est l'ancien site de lancement des missiles Sol Sol Balistiques de la France. Selon de nombreux ufologues, la base était à l'époque de son activité aux mains des gris une partie du personnel était d'origine extraterrestre.


Dans les années 6, le Général De Gaulle veut une défense nucléaire utilisant les avions, les sous-marins mais aussi des missiles sol-air. En avril 1965 le gouvernement français choisit le site du plateau d'Albion pour implanter les missiles Sol Sol Balistiques car le site est correspond aux critères de sélection. La zone est à faible densité humaine et le sol est capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capables d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire.

Il est prévu d'installer 27 Zones de Lancement et 3 Postes de Conduite de Tir (Pour cause de restrictions budgétaires, seuls 18 silos et 2 Postes de Tir seront implantés). Pendant plus de 5 ans, le plateau devient un immense chantier, les installations opérationnelles représentent 260 000 m3 de dérochage, 540 000 m3 de terrassements et de 150 000 m3 de béton.

Les chemins départementaux sont transformés en un réseau routier moderne permettant le passage de convois de plusieurs centaines de tonnes. Une base aérienne (BA200) est créé sur une surface de plus de 400 hectares sur la commune de Saint Christol et plus de 2000 personnes y travailleront. Les travaux ne dénaturent pas le site, l'armée veillent à camoufler un maximum toutes les installations. Le site s'étend sur 800 km2, il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon.

Le plateau d'Albion Vue

Les missiles sont commandés à distance depuis les 2 Postes de Conduite de Tir, enfouis sous terre. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre. Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les Postes de Conduite de Tir sont conçus pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion. Des galeries de 2 km de long y mènent.

Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence.


Dans la capsule de tir, il y a 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans.

Chacun des silos est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.

En septembre 1996 le Président Jacques Chirac annonce la fermeture et le démantèlement du site du plateau d’Albion. En décembre 1996 le ministère de la défense annonce qu’un régiment professionnalisé de l’armée de terre (légion étrangère) d’au moins 1000 hommes, complété par une unité de contre-espionnage et un escadron cynophile succédera au 1er GMS sur le site. En mai 1997 le projet de transformer le Postes de Conduite de Tir de Rustrel en laboratoire scientifique est lancé.

À St Christol, les escadrons ont commencé à partir en août 1998 après les équipes du CEA et suivit en décembre des équipes de l'Aerospatiale. La passation de pouvoir avec la légion étrangère a été réalisée dans l'été 1999. Depuis, une centaines d'hommes séjournent plus ou moins en permanence sur la base aérienne.

Le plateau d'Albion Missile

La base aérienne 200 a été rebaptisé caserne Maréchal Koenig. Elle accueille près de 1000 légionnaires. Depuis octobre 2003 la base accueille aussi une station d'écoute de la D.G.S.E. (Direction Générale de la Sécurité Extérieure) avec ses antennes radio qui emploie 150 personnes dans le cadre du réseau Echelon. Une fois démantelées, les installations du plateau d'Albion ont été rendu à la nature. Les portes ont été verrouillées et soudées et les zones de lancement recouvertes.


LA BASE NUCLÉAIRE ET LES OVNIS

De source sûre, après chaque ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans les 48 heures. Un immense vaisseau porteur plafonnait à une altitude de quelques milliers de mètre et larguait des sphèroïdes d'observation rapprochée. Un projet avait même vu le jour pour tenter d'observer ce phénomène. Les nombreux témoignages sur le plateau d'Albion proviennent tous plus ou moins des mêmes sources, ils ont été recueillis par Jimmy Grieu.

Le plateau d'Albion Puce Un instituteur à la retraite se promène à travers le chantier
Au début des années 1970, un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un instituteur à la retraite se promene à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixe brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narre son histoire à une autre personne.

Le plateau d'Albion Puce Témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981
« J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendu la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 Zones de Lancement de missiles atomique, de 2 Poste de Commandement de Tirs et un en construction à l'époque... Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les 2 heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones. Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dès lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'intervention des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie. Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'élément complémentaire. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres : contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la base dont le général. L'ovni quant à lui avait disparu, ne laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement... De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez... »

Le plateau d'Albion Puce Un appelé Maître Chien à la fin des années 80 (témoignage enregistré le 10 octobre 1990)
« J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.

Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.

Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.

Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.

Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.

Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.

Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".

Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.

Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.

Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie. »

Le plateau d'Albion Puce Hommes en noir (1991)
Le témoin travaille sur la base. Il confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendant.

Le plateau d'Albion Puce Observation d'Ovnis (1991)
Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et qu'il existe également un dossier top secret "ovni" avec des photos de ces engins. Il affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol.

Le plateau d'Albion Puce Découvert spéléologique
Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un 3ème puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au 3ème puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton.

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Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:50

danjack a écrit:Merci Christian pour ce récit,

Il se passe de bien étranges choses sur ce plateau d'Albion.
Mais est -il toujours opérationnel ,il me semble qu'il a été désaffecté et que la défense nucléaire est a composante navale et aérienne uniquement?

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Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:51

Oui il a été désaffecté - je chercherai l'article ou à moins que tu le trouves plus vite pour nous donner l'année de son abandon.

Encore un gâchis financier entre parenthèses car il me semble évident qu'il a fallu tout reconstruire ailleurs.

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Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:51

Le plateau d'Albion


Le plateau d'Albion. Un lieu paisible qui fleure bon la Provence constitué de grands espaces sauvages où alternent blés et lavandes, un plateau chargé de mystère d'où plane peut-être toujours une terrifiante menace. Certains ufologues, et non des moindres, ont émis l'hypothèse que cette base était à l'époque de son activité aux mains des petits gris et qu'une partie du personnel serait d'origine extraterrestre.
Historique :
Avril 1965 :
Le gouvernement français choisit le plateau d'Albion pour implanter ses sites de lancement des missiles Sol Sol Balistiques. Il est prévu d'installer 27 Zones de Lancement (ZL) et 3 Postes de Conduite de Tir (PCT). La petite histoire prétend que le ministre des Armées, Pierre Mesmer, découvrit le site lors d'un voyage d'agrément.
Printemps 1966 :
Pendant plus de 5 ans, le plateau devient un immense chantier de travaux publics. Les installations opérationnelles représentent 260 000 m3 de dérochage, 540 000 m3 de terrassements et de 150 000 m3 de béton. Les chemins départementaux sont transformés en un réseau routier moderne et spacieux permettant le passage de convois de plusieurs centaines de tonnes. Le 1er GMS est créé.
Une base aérienne (BA200) est créé sur une surface de plus de 400 hectares sur la commune de Saint Christol et plus de 2000 personnes y travailleront.

Le plateau d'Albion Ba200_2 Le plateau d'Albion Creustsilo
Le plateau d'Albion Feraillage Le plateau d'Albion Siloprefa2
Le plateau d'Albion Coupesilo

Pour cause de restrictions budgétaires, seuls 18 ZL et 2 PCT seront implantés.
Les PCT sont destinés à la surveillance à distance et au tir des missiles. Le PCT1 est installé sur la commune de Rustrel et le PCT2 à Reilhanette. Au total pour les deux sites, 1685000 m3 de roches sont extraits, 2580 tonnes de ferraillage et 83000 m3 de béton sont utilisés. La liaison dans les couloirs des PCT s'effectue en véhicule électrique par un réseau de tunnels creusés à plusieurs dizaines de mètres de profondeur entre chaque silo sous le Plateau d'Albion
Chaque PCT contrôle 9 ZL réparties sur la totalité du plateau d'Albion. Les ZL d’une superficie moyenne de 1,5 hectare sont disséminées sur le plateau à intervalle minimum de 3 km. La distance minimum entre un PCT et la ZL la plus proche est d'environ 4 km. Une telle dispersion est loin d’être due au hasard, le système d'arme était conçu de manière à résister à une première frappe atomique selon deux principes : les effets mécaniques (souffle et onde de choc) d'une explosion nucléaire ont une portée relativement limitée et deux explosions nucléaires simultanées, à proximité l'une de l'autre, annulent une grande partie de leurs effets mécaniques.
Les transmissions étaient effectuées par le réseau Vestale avec un site sur les hauteurs de chaque PCT. Il existait de plus un réseau de survie (TOS) à transmission par ondes de sol.

Le plateau d'Albion Reilhanetteaerienne
Le plateau d'Albion Zlaerienne Le plateau d'Albion Revisionmissile Le plateau d'Albion Transportmissile

Septembre 1996 :
Le Président Chirac annonce la fermeture du 1er GMS et le démantèlement du site du plateau d’Albion.
Décembre 1996 :
Le ministère de la défense annonce qu’un régiment professionnalisé de l’armée de terre d’au moins 1.000 hommes succédera au 1er GMS. Il sera complété par une unité de contre-espionnage et un escadron cynophile.
Mai 1997 :
Le projet de transformer le PCT de Rustrel en laboratoire scientifique est lancé.
Voici le dernier projet de finances du sénat pour la réhabilitation de la BA 200 , rebaptisée depuis caserne Maréchal Koenig :
- dépollution des sites : 1 000 000 €
- Transfert de la base vie, de la zone technique spécialisée, de l'aérodrome et de certaines emprises durcies au profit de l'armée de terre, à compter du 1/09/99. Décision ministérielle du 23/07/99.
- Transfert de la zone industrielle et de la zone d'entraînement à la direction générale de la sécurité extérieure (décision ministérielle du 25/08/1999).
- Mise en aliénation des terrains réservés pour la 3ème unité de tir.
- Mise en aliénation des emprises abritant les zones de lancement devenues inutiles.
- Conservation des zones de lancement 1.4 et 2.6 pour respectivement étude de vieillissement et implantation d'antennes.
- Aliénation du cercle mess. Décision ministérielle du 01/02/99.

Maintenant :

Le plateau d'Albion Antennesba2000an

Sur la partie DGSE, il y a des belles paraboles et autres antennes, officiellement il s'agit d'une station d'écoute (nos grandes oreilles) comme celle de Domme.
Pour la partie légion, le 2e REG est une unité d'ingénieurs de combat qui a été semble-t-il spécialement créé pour occuper cette base avec une partie des personnels provenant du site de Mururoa.

Le plateau d'Albion Zl7sb
Sur les Zones de Lancement, les silos ont été dynamités et comblés, certains sites restent en état abandonnés et servent de parc à moutons, d'autres sont utilisés pour différentes activités (observatoire SIRENE, station de mesures sismiques, radar de l'ONERA...), d'autres encore font l'objet d'activités non identifiées (boites numérotées discrètement installées sur un site, shelter dissimulé dans un autre, raccordements électriques toujours présents...) et sont régulièrement surveillés (traces récentes de pneus sur la piste qui entoure certaines ZL).

Le plateau d'Albion Pctreilhanette4yr
Le PCT de Reilhanette est abandonné et transformé en théatre de verdure, on peut facilement visiter l'extérieur, c'est juste après le terrain de kart. Il y a une table d'orientation sur un côté de la plateforme d'accès et,près de l'entrée, une remorque servant de plateau au théatre. Si on continue sur le chemin, on accède à la cheminée d'évacuation des gazs brulés. Une ouverture a été réalisée puis rebouchée, il y a de nombreux gravas à l'extérieur ainsi que de la terre rouge qui ne provient pas des alentours immédiats du PCT.

Le plateau d'Albion Pctrustrel8mr
Le PCT de Rustrel est occupé par des universitaires (LSBB) tout est en état, même les caméras extérieures. Il est officiellement interdit de photographier et il faut savoir qu'il est toujours géré par la légion et surveillé de très près par cette dernière.

oici l'histoire qui est arrivée à un chercheur de notre connaissance le dimanche 16 mars 2003 :
«Le matin, arrivée à l'ex-pct de Rustrel aménagé en LSBB (laboratoire souterrain bas bruit). La grille est ouverte et aucune voiture sur l'aire bétonnée. On rentre à pied, une paire de caméras sur la façade et à travers la grille de la conciergerie, on peut apercevoir le tracteur du train électrique. Pas d'affiche qui mentionne les contacts du LSBB en rapport avec l'université d'Avignon.
Pas moins de cinq minutes après, une camionnette vitrée blanche type boxer Peugeot avec deux légionnaires furieux de nous voir sur le parking : discussion brève, montrant leur nervosité. J'ai pas trop voulu la ramener quand même !
Arrêt devant la ZL14 sur la route Rustrel à St-Christol fermée avec une chaîne au début de l'impasse, traces au sol de terre montrant une activité de chantier à l'intérieur et câble tendu au début de l'impasse. En repartant de la ZL, avant d'arriver à la base koënig, la camionnette blanche était derrière nous et est rentrée sur la base !»
Une rumeur prétend que la base servirait de laboratoire d'essai des technologies électromagnétiques, cela expliquerait peut être le crash récent et inexpliqué d'un appareil militaire sur le plateau.
Le vendredi 19 septembre 2003 vers 09h30, au cours d'une mission d'entraînement, un avion biplace de type Tucano, de la base aérienne de Salon de Provence, s'est écrasé au sud-ouest de la commune de Saint Christol. Le pilote, un élève qui était seul à bord est décédé. L'avion s'est écrasé sur les hauteurs, sur une zone non habitée sans causer de dommages aux tiers.
L'enquête a conclu que les causes de l'accident étaient dues à une perte de connaissance du pilote.
Sur la base, entre la zone DGSE et celle de la Légion, on peut observer de nombreuses antennes dont la destination est loin d'être évidente.

Le plateau d'Albion Cercleant5su
Des zones circulaires pour des antennes qui ressemblent étrangement à certains aériens du système HAARP

Le plateau d'Albion Triangleant5uu
Quel peut-être l'utilité de cet assemblage de petites antennes de forme pyramidales à chaque extrémité de cette étrange zone en forme de triangle ?

Le plateau d'Albion Radaronera2it
Il faut aussi savoir que sur une ancienne ZL face à la magnifique chapelle de Notre Dame de l'Ortiguière, l'Onera développe avec Thomson-CSF le radar GRAVES (Grand Réseau Adapté à la VEille Spatiale) pour la surveillance de l'espace. II s'agit d'un système bistatique dont l'émetteur se trouvera dans la région de Dijon à Broyes-les-Pesnes et le récepteur sur le plateau d'Albion. II permettra de détecter des objets volants jusqu'a 1.000 km d'altitude. Le réseau GRAVES scrute l'espace et après détection d'un objet adresse ce dernier à un module d'imagerie pour identification. Ce projet a été développé sur financement de la Direction des Missiles et de l'Espace de la Délégation Générale de l'Armement.

De nombreuses personnes font aussi état de bruits souterrains rauques, des raclements comme de très lourdes portes en mouvement à proximité de la base et semble-t-il sur une grande partie du plateau.

Le plateau d'Albion Albionsat1

Et l'ufologie dans tout ça ? :
Nous savons de source sure qu'après chaque ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans les 48 heures. Un immense vaisseau porteur plafonnait à une altitude de quelques milliers de mètre et larguait des sphèroïdes d'observation rapprochée. Un projet avait même vu le jour pour tenter d'observer ce phénomène : l'opération RAPA NUI. Vous en trouverez un résumé ci-dessous :
Le 4 avril 1985, en collaboration avec l'IMSA et le CEOF,Jimmy Guieu sollicite par courrier le ministère de la Défense pour proposer un projet d'observations ufologiques sur le plateau, à charge pour le ministère de le prévenir quelques jours avant l'ouverture d'un silo. Le projet consiste en l'installation d'un groupe d'enquéteurs sur un point haut près du silo avec différents moyens d'observation (détecteurs, téléscopes, caméras et appareils photographiques). Hélas, après différents échanges de courrier, l'opération ne vit jamais le jour. Il semble, par contre, que le ministère reprit l'opération à son compte quelques mois plus tard...

Les nombreux témoignages sur le plateau d'Albion proviennent tous plus ou moins des mêmes sources, ils ont été recueillis par notre regrétté Jimmy Guieu.
Premier témoignage :
Au début des années 1970, un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un instituteur à la retraite se promène à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixe brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narre son histoire à une autre personne.
Second témoignage : il 'agit d'un appelé effectuant son service militaire dans les commandos sur le plateau d'Albion en 1981.
«J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendu la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 Zones de Lancement de missiles atomique, de 2 Poste de Commandement de Tirs et un en construction à l'époque...
Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les 2 heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones.
Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dès lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'intervention des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie.
Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus.
C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'élément complémentaire. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres : contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la base dont le général.
L'ovni quant à lui avait disparu, ne laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement...
De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez.... »

Troisième témoignage : il 'agit d'un appelé effectuant son service militaire comme Maître Chien sur le plateau d'Albion fin des années 80 (témoignage enregistré le 10 octobre 1990).
« J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.
Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.
Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.
Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.
Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie. »

Quatrième témoignage : (1991)
Le témoin travaille sur la base. Il confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendant.

Cinquième témoignage : (1991)
Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et qu'il existe également un dossier top secret "ovni" avec des photos de ces engins. Il affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol.

Sixième témoignage :
Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un 3ème puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au 3ème puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton.
Voiçi un dernier témoignage trouvé sur le forum du site web ovni.ch, il est à prendre avec les plus grandes réserves réserves :
«Capitaine F... 2ème régiment étranger du Génie. Plateau D'Albion. Vaucluse (84)
Nous sommes installés sur cette ancienne base aérienne depuis un an et demi. Notre effectif total est de 550 hommes.
Il se passe ici des phénomènes que personne ne pourrait croire. Maintenant nous allons parler, il faut que cette loi du silence s'arrête. Si cet endroit est maudit nous devons partir car la légion ne peut plus nous laisser dans cet enfer. En février 2000, trois de mes hommes sont morts ici dans des conditions atroces. Personne n'a rien dit, personne n'a rien su et ceux qui savaient n'ont rien dit non plus.
Il est difficile de vous dire ce que nous avons vu arriver ici car cela s'est présenté sous des formes différentes et invraisemblables. Ce que nous savons aujourd'hui c'est que les galeries existantes sous la base sont infestées par ce que nous appelons les extraterrestres.
La nuit, le sol tremble, l'électricité est coupée parfois pendant plusieurs heures et une forte odeur de soufre s'installe. Dehors, le ciel est couvert par des grands disques éclairés en leur centre. Ils se posent partout où ils peuvent et commencent à s'enfoncer dans le sol sans faire de bruit. Ens je dois arrêter car quelqu'un vient.......»
Que peut-on penser de tout cela ?
Les témoignages ci-dessus n'ont commencé à interpeller certains chercheurs qu'après que la déclaration de John Lear soit arrivée en France. Il y a en effet des similitudes troublantes avec les éléments de ce dossier.
Des bases souterraines américaines seraient ocupées par une race d'extraterrestres de petite taille et à la peau grise surnommés les «Gris». Le premier témoignage de l'instituteur retraité décrivant sa rencontre correspond à la description d'un de ces extraterrestres. Le témoignage du spéléologue amateur avec ses "fauteils bizarres" corroborerait lui aussi le fait que les «Gris» seraient installés sous le plateau d'Albion, un peu comme pour la base de Dulce au Nouveau Mexique.
Un élément contradictoire m'interpelle sur ce dossier. Comment se fait-il que des OVNI soient amenés à survoler des silos quelques 2 jours après leur ouverture si des extraterrestres sont déjà sur place ? Ils devraient être au courant de nos faits et gestes ou, tout du moins, ne pas avoir un tel temps de réaction. Se pourrait-il que plusieurs ethnies extraterrestres soient impliquées dans cette affaire ?
Notre zone 51 ?
Une autre hypothèse pourrait aussi être prise en compte : de nombreux éléments concordants tendent à montrer que nos militaires aurait, eux-aussi, récupéré un OVNI vers la fin des années 50. Un des premiers contactés français, Marius Delwide, a selon ses dires été mis en présence d'un objet ovoïde sur une base militaire française.
Un piège à c..s ...
Ne s'agit-il pas tout simplement d'un leurre destiné à cacher des recherches particulièrement sensibles ? Le fait d'impliquer les OVNI ne pourra que jeter le discrédit sur toutes les informations étranges provenant de ce secteur.
Conclusion provisoire :
Le plateau d'Albion n'a pas fini de faire parler de lui. Aucune des suppositions ci-dessus ne peut être retenue ou totalement écartée. Il faut les considérer comme des hypothèses de travail et les traiter comme telles.
Il n'est pas nécessaire d'aller chercher à l'autre bout du monde des faits difficilement vérifiables, nous avons ce qu'il faut à notre porte. Alors travaillons ensemble et essayons d'élucider ce mystère, en n'oubliant pas que la vérité est souvent beaucoup plus incroyable que la fiction la plus folle.


http://serppe.info - Philippe MATHÉ

Références :
Merci à toi Jimmy qui a défriché le sujet ainsi qu'à vous tous qui avaient partagés vos informations et particulièrement à toi Yves pour ton dossier.
http://ufoweb.free.fr/albion.htm
http://photovni.free.fr/vaucluse/vaucluse.htm
http://www.dgse.org/index.php?ID=& categ=11&id_artic=566
http://anfas.free.fr
http://lsbb.unice.fr/intro.htm
Sans oublier l'excellent livre : "Plateau d'Albion, les sentinelles de la paix" de Patrick Delcourt

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Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:51

danjack a écrit:Reconversion du Plateau d'Albion


Le PCT de Rustrel, le LSBB

LSBB « C'est le laboratoire le plus silencieux de la planète.»


Racheté par la communauté des communes de Rustrel-Pays d'Apt, la conversion du Poste de Conduite de Tir n°1 en Laboratoire Souterrain Bas Bruit a commencé en juillet 1997, la première expérience permanente y a été installée en juin 1998 et l'association avec l' Université d'Avignon date de juillet 2001.

Rebaptisé « Laboratoire souterrain à bas bruit » par le CNRS, ce vestige de la composante terrestre de la force de frappe attire en quelques mois des chercheurs du monde entier qui font la queue pour placer leurs instruments de mesure. 3 kilomètres de galeries enfouies sous 500 mètres de roches calcaires loin de toutes activités urbaines, industrielles ou routières, il a été conçues pour résister à l'impact, au souffle et aux perturbations électromagnétiques d'une bombe nucléaire de forte puissance qui tomberait devant l'entrée. C'est comme si on se trouvait au calme à 1.500 mètres sous l'eau. Ainsi, les portes blindées qui jalonnent l'étroite galerie de 1,5 kilomètre conduisant au poste de tir avaient été conçues pour résister à des souffles supérieurs à une pression de 20 bars.

Les scientifiques leur ont découvert de nouvelles vertus : filtrer les ondes de toutes sortes, d'origine sismique, acoustique, mécanique, et même cosmiques. Une des salles est dotée d'une porte d'acier de 40 centimètres d'épaisseur recouverte d'un blindage électromagnétique. A l'intérieur, le bruit y est nul. Les chercheurs du groupe de physique des solides y ont installé un détecteur de leur composition pour tenter de piéger les particules massives faiblement interactives (les Wimps) qui figurent en théorie parmi les candidats les plus sérieux pour constituer, au moins partiellement, la masse manquante de l'univers. Si, par chance, un Wimp percutait une des gouttelettes de fréon surchauffée qu'ils ont immergée dans leur détecteur, les chercheurs prédisent qu'elle passera ä l'état gazeux en émettant un son détectable par les microphones qui couronnent l'expérience. Le laboratoire souterrain accueille d'autres expériences. L'endroit qui intéresse le plus les chercheurs est la capsule de béton longue de 28 mètres, où se trouve une cabine suspendue sur d'énormes amortisseurs qui abritait le poste de commandement. Rien ne devait entraver un ordre de tir. Son blindage était donc destiné à protéger la pièce des rayonnements électromagnétiques d'une bombe nucléaire risquant d'endommager les installations électriques.

Le bruit électromagnétique enregistré ici, au-dessous de 10 Hz., est l'un des plus faibles au monde. Et les autres sources de bruits dans l'enceinte sont fortement minimisées. Une boussole par exemple a peu de chances de fonctionner ici : le champ magnétique dans l'enceinte n'atteint pas un septième du champ terrestre, et sa variation est quasiment nulle. Cette installation intéresse à l'heure actuelle une vingtaine d'équipes de scientifiques : physiciens, géologues, biologistes, qui conduisent des expériences très précises dans l'infiniment petit.

Comprendre l'amplification des ondes sismiques en surface est une autre préoccupation des chercheurs du laboratoire Géoazur des sciences de la terre de Nice. Pour absorber les souffles d'explosions nucléaires, les galeries de Rustrel ont été construites ä angle droit. En plaçant des sismographes sur ce tracé et ä la verticale d'un puits de fibres optiques, les géologues disposent en continu d'une image tridimensionnelle des remous terrestres. Devant le succès du site auprès de la communauté scientifique, le deuxième poste de tir qui commandait les neuf autres missiles balistiques français de l'autre côté de la montagne pourrait aussi être reconverti. Pour autant, ce désert des Tartares qui a attendu vingt-cinq ans une hypothétique guerre nucléaire restera un monde de silence.

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Message par Cricri-FB Ven 8 Juin 2018 - 11:52

Plateau d'Albion (base militaire) (1963-1996)


Le Général De Gaulle veut une défense nucléaire avec des avions, des sous-marins et des missiles sol-air. Il s'agit maintenant de trouver un site stratégique où implanter ces missiles. Deux critères entrent en compte : zone à faible densité humaine et sol capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capables d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire. Au début des années 1960s, des recherches sont menées en Corse, dans les Vosges, dans le Massif central et la Drôme. En 1963, 2 plateaux restent en lice : Valensole et Albion.

Le plateau de Valensole est écarté car son réseau hydrographique est incompatible avec la construction des silos. Le sous-sol d'Albion est idéal : calcaire facile à travailler et suffisamment résistant pour encaisser des chocs et hors de la zone sismique de la Durance. En surface, une étendue quasi déserte à perte de vue, 785 hectares et 288 propriétaires. Le village le plus proche est Saint-Christol (Vaucluse) au Sud, avec 1600 habitants. La ville la plus proche est Apt, à 30 km. Le 2 mai 1963, le Conseil de Défense décide la construction de la base de missiles sol-sol sur d'Albion.

Le site d'Albion s'étire entre le Mont Ventoux, Apt et l'Hospitalet
Le plateau d'Albion AlbionMap

En 1965, après la visite de Pierre Messmer, la décision est prise d'y implanter 27 missiles.

Toutes les installations doivent résister à une explosion nucléaire. C'est dire les tonnes de béton, de ferraillage et de blindage qui vont être déversées sur et dans le plateau. Le creusement des silos commence en Août 1966 et parfois, on tombe sur d'immenses avens qu'il faut combler. 5500 m3 de roches sont extraites pour chaque silo et son abri auxiliaire. Bien qu'impressionnants, ces travaux ne dénaturent pourtant pas le site puisqu'ils sont non seulement enfouis, mais que les militaires veillent à les camoufler un maximum. En tout, le système dissuasif français s'étend sur 800 km2 car il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon, son coeur étant sur le plateau d’Albion.

Le terminal de transmission n°1 du plateau d'Albion
Le plateau d'Albion Albion_Terminal1

En 1967, c'est en fait seulement 18 silos qui sont construits. Chacun de ces derniers est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.

Les missiles sont surveillés nuit et jour et commandés à partir de 2 Postes de Conduite de Tir (PCT), construits sous terre, à distance. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre. Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les PCT sont conçus non seulement pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion : des galeries de 2 km de long y mènent.

Un missile de Albion
Le plateau d'Albion Albion_so3-h

Il faut aussi construire la Base Aérienne (BA) 200, dont les militaires maintiendront opérationnels les missiles et les matériels périphériques. Sur 406 hectares, cette base regroupe les bâtiments du commandement, les services administratifs, un restaurant, une hôtellerie, une zone technique (véhicules de liaison, entretien, énergie de secours, stockage de carburants), une zone technique spécialisée pour la maintenance en silo, un dépôt de munitions spéciales où travaillent aussi les spécialistes du CEA pour l'assemblage des têtes nucléaires des missiles et une zone d'instruction du personnel. Les couleurs sont envoyées le 5 juillet 1968.

À flanc de montagne on ne voit des 2 postes de tir qu'une plate-forme et un fronton de béton de 2 m d'épaisseur. Seuls pourront y pénétrer les officiers de tir chargés de l'éventuelle mise à feu des missiles. Clôture électrifiée, barreaux, grilles équipées de détecteurs, filet anti-grenade, plaque blindée contre les tirs de roquette, gardes armés, détecteur d'attaque chimique, porte blindée, vitre blindée sans tain, fenêtre de tir permettant le lancement de grenade sur des visiteurs indésirables, portique de détection... le dispositif est impressionnant.

Entrée à l'installation d'Albion
Le plateau d'Albion Albion_Entree

Une fois que patte blanche est montrée, ce sont les officiers de permanence dans leur trou à 400 m sous terre qui actionnent les portes d'accès de la galerie. Embarquement dans un drôle de petit tracteur électrique, mais claustrophobes s'abstenir. Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière blafarde monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux mais terrifiant système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Décidément, on a pensé à tous les scénarii catastrophe. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence. Dans la capsule de tir, 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans.


Témoignages

EBE
Au début des années 1970s, un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un instituteur à la retraite se promene à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixe brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narre son histoire à une autre personne [Patrick Gamb].

Alerte (1981)
Un autre témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981 [Photovni] :

J'ai effectué mon service militaire au plateau d'Albion en 1981. J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendue la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 zones de lancement de missiles atomique 2 (PCT) poste de commandement de tirs et un en construction à l'époque. Ces postes étaient situés 500m environ sous différentes montagnes allant du haut Vaucluse jusqu'en limite drome.

Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les deux heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones.

Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dés lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'inter' des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie.

Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'éléments complémentaires. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.

10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres. Contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la BA. dont le général.

L'ovni quant à lui avait disparu, laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement. Je pense que tout cela n'est pas nouveau et suis sûr que les gouvernements font tout ce qu'ils peuvent pour leurrer les gens par de la désinformation, en expliquant que telles ou telles observations émanent de phénomènes naturels.

De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez. En plus, nous n'avions aucune preuve de tout cela.

En bref, je reste persuadé que le plateau du Vaucluse est un carrefour ou ces observations seront régulièrement constatées et que nous aurons un jour ou l'autre la preuve formelle de la présence de vie extraterrestre.

Hommes en noir
À la fin des années 1980s (témoignage enregistré le 10 octobre 1990) [Patrick Gamb] :

J'ai effectué mon service militaire en tant que maître chien sur le plateau d'Albion. J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.

Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.

Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.

Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.

Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.

Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.

Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".

Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.

Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.

Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie.


Témoignage 1 (1991)
Le témoin travaille sur la base. Il confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendants [Patrick Gamb]

Témoignage 3
(1991)Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et qu'il existe également un dossier top secret "ovni" avec des photos de ces engins. Il m'affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol [Patrick Gamb]

Témoignage 4
Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un 3ème puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au 3ème puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton [Jimmy Guieu cité par Patrick Gamb]

Mutilations
Il y a eu des mutilations sur des animaux, non pas sur le plateau d'Albion mais dans des départements limitrophes. 2 séries de mutilations sur des moutons près du camp de Canjuers dans le département 83. Un troupeau de moutons totalement décimé dans la région de la Javie dans le département 04. Des biches mutilées ont été retrouvées près de l'observatoire de haute Provence en 1989 par des chasseurs. Des moutons mutilés prés du village de Rians dans le département 83 en 1989.

Concernant les mutilations sur le bétail, voir topic sur le forum ICI


Démantèlement (1996)

En septembre 1996, le président Chirac annonce la fermeture des sites de lancement terrestres de missiles nucléaires. On prévoit que le démantèlement des missiles et de leurs silos prendra 2 ans. La défense nucléaire du pays reposera dorénavant sur l'aviation et les sous-marins. Les missiles, dont chacun d'entre eux est plus puissant que la bombe d'Hiroshima, sont désactivés 1 an plus tard, en Septembre 1997.

Le 17 septembre 1997, le Ministre de la Défense annonce que 1000 légionnaires de la Légion Etrangère vont s'installer sur le Plateau d’Albion. De 1999 à 2000 il vont constituer une nouvelle unité d'ingénieur de comabt pouvant être rapidement dépêchée dans le monde en cas de crise. Certains membres de cette unité viendront d'un régiment de la Légion qui maintient la site de test aujourd'hui fermé de Mururoa (Pacifique Sud).

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